C’est l’été! Et, qui dit été à Montréal dit: cônes orange, déchets de déménagement sur les trottoirs, canicule suffocante… et pique-nique.
Histoire de vous faire vivre l’expérience totale, je vous invite au pique-nique annuel des jeunes retraités au parc Jarry (Montréal), le 28 juillet prochain.
Plusieurs acteurs du mouvement FIRE seront présents.
Comme d’hab, j’apporte mon BBQ, des grillades et des jeux. Vous apportez votre bouffe, votre boisson, votre chaise et votre bonne humeur. Puis, on prend une bière en jasant de liberté.
Date:
Dimanche 28 juillet 2024
Heure:
13h00
Endroit:
Au parc Jarry, sur les berges du petit lac, devant la fontaine. Voir la carte
Métro:
Le métro De Castelnau est situé juste à côté du parc.
Auto:
Il y a plusieurs stationnements gratuits dans les rues autour de la piscine St-Roch.
Météo:
En cas de pluie, l’événement sera reporté.
Aide:
Je cherche un(e) volontaire pour s’occuper du BBQ ainsi qu’un(e) DJ qui pourra apporter un haut-parleur bluetooth et une bonne playlist.
Merci de confirmer votre présence sur la page Facebook de l’événement ou ici-bas en commentaire.
J’ai très hâte de vous voir!
Mon copain et moi seront présents!
Génial! Au plaisir de te rencontrer Sarah!
Si tu as un compte Facebook, pourrais-tu stp indiquer ta présence sur la page de l’événement (https://www.facebook.com/events/1005059144159376). Ça me permerttra de garder le compte. Merci beaucoup!
Oui nous serons la,Diane et mario ,a demain merci
Au plaisir de vous rencontrer Diane!
Je suis nouveau. J’ai hâte de rencontrer vous tous.
Au plaisir Yuan!
PS: Merci d’indiquer votre présence sur la page de l’événement, si possible: https://www.facebook.com/events/1005059144159376
Mon mari Gilles et moi serons enfin présents. Depuis le temps que nous souhaitons pouvoir y participer! Au plaisir de vous y rencontrer tous!!!
Salut Anne-Marie, J’ai bien hâte de vous revoir tous les deux.
PS: Merci d’indiquer votre présence sur la page de l’événement, si possible: https://www.facebook.com/events/1005059144159376
Si je ne suis pas encore jeune retraité mais que je profite pleinement de vos conseils dans le but de le devenir, puis-je oser me pointer et jaser liberté future? Merci
C’est exactement l’objectif de cet événement… Vous êtes bienvenue!
PS: Merci d’indiquer votre présence sur la page de l’événement, si possible: https://www.facebook.com/events/1005059144159376
Je serais surpris que le Loup-Gary des steppes du Web se frotte enfin cette année à votre évènement transgénérationnel, je présume, mais bon, quoi qu’il en soit, on ne sait jamais avec ce personnage ubuesque de la vieille époque, car il va sans doute se décider à la toute dernière minute!
PFG,
Vous êtes toujours le bienvenu! On devrait avoir du fun!
Tiens donc, voilà un excellent sujet d’échanges-conversation lors de votre pique-nique annuel au parc Jarry.
« Un investisseur “passif” qui achète un fonds indiciel peut aussi être victime d’un biais de récence. Aujourd’hui, plusieurs lecteurs sont persuadés qu’investir à 100 % dans un fonds qui suit le S&P 500 est la meilleure chose à faire. » « Des investisseurs invincibles comme le Titanic » https://www.lapresse.ca/affaires/finances-personnelles/2024-07-21/l-argent-et-le-bonheur/des-investisseurs-invincibles-comme-le-titanic.php
Notre ami Nicolas Bérubé semble avoir le piton collé, avec sa répartition d’actifs quadripartite (actions canadiennes, américaines et internationales, puis obligations), mais il faut bien admettre que sur le fond, il n’a pas du tout tort, du moins en théorie, ce qui ne signifie pas qu’il ait absolument raison non plus.
Il a seulement mis le doigt sur le fait que même Warren Buffet, le plus grand financier de tous les temps, démontre un « biais de récence » lorsqu’il recommande à tout le monde d’investir 90 % de ses actifs dans un fonds indiciel qui colle au SP&500 à frais annuels très réduits (0,06 %), et d’y rester passif à très long terme — puisqu’en 30 ans consécutifs de présence indéfectible, au moins, nous avons 100 % de chance d’atteindre finalement à notre objectif financier —, et 10 % de ses avoirs en liquide dans les bons du Trésor américain.
Le biais de récence de Buffet consiste en l’éternel optimisme qu’il manifeste depuis toujours envers le caractère résilient du marché américain à travers toutes les époques de son histoire financière.
Bonjour PFG,
Normalement, Nicolas vient à mon pique-nique. C’est votre meilleure occasion d’aborder le sujet avec lui!
Pour moi, le niveau de risque, à très long terme, et non pas à comparer selon un choix de décades arbitraires, c’est ce qui compte vraiment :
RISQUE RESPECTIF
D’après http://www.morningstar.ca
100 % en actions canadiennes, américaines et internationales
VEQT = Moyen
80 % d’actions canadiennes, américaines et internationales, et 20 % d’obligations
VGRO = Supérieur à la moyenne
100 % en actions américaines
ZSP = Moyen
Morningstar évalue ce niveau de risque sur 5 ans seulement, remarquez bien.
Bonjour PFG,
Aussi, je pense que le niveau de risque établi par Morning Star est évalué par rapport aux autres titres de la même catégorie d’actifs. Par exemple, VEQT a un niveau de risque « moyen » par rapport aux autres fonds similaires.
Il y a deux chroniques extraites ci-dessous, JSP, de notre ami Nicolas Bérubé, qui sont particulièrement pertinentes à lire, en ce qui a trait à leurs niveaux de risque respectifs sur le long terme, à comparer les FNB indiciels 100 % actions et les autres qui sont hybrides à 80/20 ou 60/40 : ces derniers sont en effet contre-intuitivement bien plus risqués dans une telle perspective !
J’ajouterais mon grain de sel pour ce qu’il vaut, en conclusion, quitte à le remettre en question si j’ai tort : j’affirme, corrigez-moi si je me trompe à cause d’un biais de jugement quelconque, monétaire ou géographique, que le risque de change est statistiquement nul entre le Canada et les États-Unis, qu’il est donc inutile, du moins à long terme, d’augmenter en pure perte ses frais en payant pour une couverture de devise superflue, ce qui justifie quant à moi que je n’investisse pas dans un fonds à 30 % actions canadiennes et que je suive à peu de frais (0,09 %) le SP&500 comme le recommande Warren Buffet.
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« Quelle est la meilleure façon d’investir 1 million de dollars ? »
https://www.lapresse.ca/affaires/finances-personnelles/2024-04-28/l-argent-et-le-bonheur/quelle-est-la-meilleure-facon-d-investir-1-million-de-dollars.php
« Pourquoi ne pas faire comme le suggère Warren Buffett et tout simplement investir dans le S&P 500 ?
Ce n’est pas idéal d’avoir tous ses placements dans une devise étrangère : on vit au Canada, on fait notre épicerie en dollars canadiens, alors c’est souhaitable d’avoir une partie de nos placements dans notre économie et notre devise.
Aussi, une récente étude de l’Université de l’Arizona a montré que le portefeuille optimal pour un investisseur d’un petit pays (financièrement parlant) comme le Canada a historiquement été d’avoir environ le tiers de ses placements en actions du marché domestique, et le reste à l’international. Les fonds VEQT, VGRO et VBAL suivent cette orientation. »
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« Un portefeuille 100 % actions ? OK, mais… »
https://www.lapresse.ca/affaires/finances-personnelles/2024-02-18/l-argent-et-le-bonheur/un-portefeuille-100-actions-ok-mais.php
Il y a des principes en finance qui sont rarement, voire jamais, remis en question.
Par exemple : un portefeuille de placement doit contenir au moins deux catégories d’actifs : des actions et des obligations.
Aussi : les jeunes doivent avoir une forte proportion d’actions dans leur portefeuille. Avec l’âge, on augmente le pourcentage alloué aux obligations, histoire de ne pas être forcé de vendre des actions pendant une chute des marchés à la retraite.
J’adhère moi-même à cette façon de voir les choses, et je vous en fais part ici avec une troublante régularité.
J’ai donc été surpris par une nouvelle étude qui montre que cette approche est loin d’être celle qui a généré le plus de richesse pour les investisseurs.
Intitulée « Beyond the Status Quo : A Critical Assessment of Lifecycle Investment Advice », l’étude a été réalisée par des chercheurs de l’Université de l’Arizona, l’Université Emory et l’Université du Missouri.
Les chercheurs ont voulu savoir quelle proportion d’actions/obligations offrait les meilleurs rendements tout au long de la vie des gens, depuis les premiers pas de leur carrière jusqu’aux dernières années de leur retraite, parfois 70 ou 75 ans plus tard.
Pour y parvenir, ils ont analysé les marchés boursiers de 38 pays développés de 1890 à 2019, soit près de 130 ans de données. Cela inclut des évènements terrifiants comme deux guerres mondiales, le krach de 1929, la Grande Dépression, les attaques du 11— Septembre, le débat sur le tramway de Québec, etc.
Résultat : la meilleure approche pour accumuler des placements durant sa vie active, vivre pendant des décennies à la retraite et laisser de l’argent en héritage à ses enfants est d’avoir 100 % de ses actifs dans le marché boursier, et d’éviter complètement les obligations.
La raison est simple : durant les périodes analysées — près de 2500 ans de données lorsqu’on les met bout à bout —, les actions ont globalement généré quatre fois plus de richesse après inflation que les obligations.
Les chercheurs ont découvert que les investisseurs qui ont un pourcentage grandissant d’obligations dans leur portefeuille avec l’âge devaient épargner 40 % plus d’argent durant leur vie active pour espérer avoir le même niveau de vie à la retraite que les investisseurs 100 % actions.
Le plus intéressant, c’est que lors du décaissement à la retraite en utilisant la règle souvent employée du 4 % (vendre 4 % de ses placements par année en ajustant chaque année la somme décaissée pour couvrir l’inflation), les investisseurs 100 % actions risquaient moins de manquer d’argent que les investisseurs qui ont des obligations. C’est qu’ils ont accumulé beaucoup plus de richesse au fil des années, donc leur pouvoir d’achat demeure plus élevé, même avec les chutes.
« Ça nous a surpris, m’explique en entrevue Scott Cederburg, professeur associé de finance à l’Université de l’Arizona et coauteur de l’étude. On entend souvent dire que les obligations constituent un refuge sûr pour les retraités. On constate au contraire que le risque d’inflation pendant la retraite et la possibilité d’une longue vie rendent les obligations peu attrayantes pour les retraités. »
Quant à la composition du portefeuille, les chercheurs ont calculé que, pour un pays comme le Canada, la pondération idéale est d’environ 35 % pour un fonds d’actions canadiennes, et 65 % pour un fonds d’actions internationales.
« Donc il y a un biais en faveur du pays d’origine, note M. Cederburg. Et l’exposition aux actions internationales n’est pas couverte contre le risque de taux de change. En fait, on a constaté qu’à long terme, la fluctuation du taux de change contrebalance les risques d’inflation dans le pays d’origine des investisseurs. »
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Autrement dit, pour conclure de mon point de vue, si un fonds indiciel détenant «50 % d’actions nationales et 50 % d’actions internationales tout au long de la vie surpasse largement» les fonds comportant un certain pourcentage en obligations, soit de 20 ou 40 %, les fonds 100 % actions américaines surpassent aussi les fonds 50/50 en actions selon un biais « national » canadien, et j’ajouterai que ce qui est meilleur pour les États-Uniens l’est tout aussi pour les Québécois, car nous sommes tous deux plongés dans le même contexte financier nord-américain, étant donné que le risque de change entre nos deux devises resterait négligeable à long terme. Bien entendu, cela sera affirmé sous toute réserve puisque le point que je soulève ici nécessiterait une nouvelle étude approfondie! Pour moi cela m’apparaît cohérent, d’autant plus que les conclusions de l’étude ci-dessous recoupent parfaitement les fameuses recommandations de Warren Buffet tant pour les lambdas de mon espèce, pauvres et ignorants, que pour les fonds de retraite institutionnels!
Réf.: «Beyond the Status Quo: A Critical Assessment of Lifecycle Investment Advice» October 2, 2023: https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=4590406
Résumé
«Nous remettons en question deux principes centraux de l’investissement tout au long du cycle de vie : (i) les investisseurs doivent se diversifier entre les actions et les obligations et (ii) les jeunes doivent détenir plus d’actions que les anciens. Un mélange équilibré de 50 % d’actions nationales et de 50 % d’actions internationales détenues tout au long de la vie surpasse largement les stratégies d’obligations/d’actions basées sur l’âge pour créer de la richesse, soutenir la consommation de retraite, préserver le capital et générer des legs. Ces résultats sont basés sur un modèle de cycle de vie qui présente des processus dynamiques pour les revenus du travail, les prestations de sécurité sociale et la mortalité, et capture les principales séries chronologiques et les propriétés transversales des rendements à long terme des classes d’actifs. Compte tenu de l’ampleur de l’épargne-retraite aux États-Unis, nous estimons que les Américains pourraient réaliser des gains de bien-être de plusieurs milliards de dollars en adoptant la stratégie entièrement en actions.»
J’aurais dû préciser davantage que Warren Buffet préconise, lui, aux Américains ainsi qu’à leurs fonds de retraite institutionnels, un seul FNB indiciel à frais très réduits à 100 % en actions américaines, plutôt qu’un fonds du même genre à 50 % en actions américaines et 50 % en actions internationales, d’après la fameuse étude référée par Nicolas Bérubé qui avait interviewé les chercheurs qui recommandaient cependant aux Canadiens un fonds toujours indiciel pondéré par 35 % de valeurs canadiennes. J’avais écrit à Bérubé sur cette question, je n’avais obtenu aucune réponse, signe qu’il n’avait rien à ajouter de plus précis encore. Avoir participé l’autre dimanche à leur BBQ annuel, je l’aurais eu enfin en face de moi pour lui soulever cette problématique. Si le risque de change entre les dollars américains ou canadiens est nul et non avenu à long terme, je ne vois pas pourquoi, à tort ou à raison, il serait mieux tout de même d’investir 35 % du fonds au Canada.
Bonjour PFG,
J’espérais bien vous rencontrer en personne au pique-nique pour en discuter. On se reprendra!
Je trouve que Nicolas Bérubé est le meilleur journaliste financier au Québec. Après avoir lu les torchons écrits en 30 minutes dans le Journal de Montréal cette semaine, je constate que rares sont ceux qui ont de la rigueur.
Ceci dit, je ne peux pas répondre à sa place. Je vais par contre lui poser la question à notre prochaine rencontre.
Les points que vous soulevez sont intéressants. Personnellement, je n’ai pas d’opinion tranchée sur le sujet. US ou CAD, ça dépend de la devise dans laquelle sont nos avoirs, du taux de change, de la perspective de l’économie US, des politiques monétaires de nos voisins et même du prochain(e) Président(e). Il y a tellement de variables à considérer. Pour moi, c’est un peu un coup de dés.
Quant à Buffett, je suis également d’accord avec son portefeuille 100% actions. C’est d’ailleurs mon approche depuis 20 ans. J’ai dernièrement profité des CPG à 5-6%, mais sinon je ne jure que par les actions.
Cette fois j’ai été écrasé par le 31 C, dommage!
La semaine de vague de chaleur mur à mur que nous venons de traverser met à rude épreuve. Mon système d’air climatisé portatif, 21 000 Btu/h SACC au total pour 785 pieds carrés orienté en façade en plein soleil du début de l’après-midi jusqu’à la brunante, suffit de justesse à cette tâche, mais il est trop bruyant à plein régime dès 7 h du matin !!! Je dois endiguer un tsunami de 40 C qui rugit sur mon balcon alors que j’arrive à maintenir 22 C à l’intérieur.
Pour dire vrai, je ne comprends jamais rien à l’irrationnalité fondamentale de cette maudite bourse qui vient encore de se dévisser la tête pour rire de nous autres, en fait.
Je me contente de faire le mort exquis dans ces montagnes russes qui vont me brasser sans doute jusqu’à la veille de ma mort comme pour me réveiller brusquement de mon agonie panique…
Évidemment, quand on tombe alors sur toute une décade qui reste au point mort indéfiniment alors que le besoin de décaisser se fait sentir de toute urgence, là on la trouve pas mal moins drôle… 🙂
Moi je touche du bois jusqu’en 2030…
Ce sera pour une prochaine fois PFG!
« Fear and greed. » Collectivement, les investisseurs boursiers ont un QI de 42 quand le panique frappe.
Je ne regarde pas mes comptes pour quelques semaines. Et, je passe un magnifique été! 🙂
Nous y serons aussi ! – Maxime & Myriam -xxo
Super Myriam!
Au plaisir de te rencontrer!
Nous y serons aussi ! Pierre et Diane
À tantôt Pierre!
Ça va ?
Jean-Sébastien c’est François miville le frère de Pascal est ce-qu’il va avoir d’autre rencontre de mouvement fire et frugalisme?
Salut Francois!
Je fais un événement par année. J’espère vraiment t’y voir l’année prochaine! 🙂